samedi 18 avril 2020

Chronique des confinés de la Bréhardière: vendredi 17 avril 2020



Nous n'arrivons pas à résoudre le problème des photos qui ne s'affichent plus.

A notre grand regret, nous arrêtons temporairement les chroniques. Veuillez nous excuser.



Il a plu cette nuit, 1,5 mm. Très vite les nuages disparaissent, c'était un beau ciel.





Chronique des nuits de la Bréhardière: nuit du 16 au 17 avril

Changement de place du piège qui fixe le même emplacement depuis un autre angle. Rien sauf notre chatte, même pas les pies. Décidément rien ne va plus.

Photo mystère: la réponse

Il fallait y voir un lézard vert (Lézard à deux bandes). C'est le deuxième jour que je le vois à cet endroit.



La botanique facile ou presque
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   Comment reconnaître les plantes sauvages. Il existe quantité de guides pour vous aider dans leur détermination. Certains guides le font par la couleur, d'autres par les familles et certains avec des clés de détermination.

   Un des plus anciens et toujours d'actualité, est celui de Gaston Bonnier (1853-1922)
Le principe est de trouver le nom des plantes, par une clé de détermination, sans connaissance botanique en répondant à des questions qui vous renvoient à un numéro qui vous pose des questions qui vous renvoient à un numéro et ainsi de suite jusqu'au nom de la plante.
   C'est une méthode simple efficace mais comme elle est simplifiée toutes les espèces ne s'y trouvent pas.
   Il existe une autre flore de Gaston Bonnier et Georges de Layens (1834-1897) qui suit le même principe questions/numéros mais avec des termes botaniques.

  L'oeuvre de Gaston Bonnier est toujours éditée aux éditions Belin.




Prenons cette plante sauvage de mon jardin.


J'ouvre mon livre  à la première question n°1:
- plante ayant des fleurs
- plante n'ayant jamais de fleur

Je vais donc répondre: plante ayant des fleurs qui me dirige vers les questions n°2. Etc...
J'ai souligné en rose les différentes réponses aux questions



Passons au n°228
Fleur irrégulière mais symétrique



Des feuilles simples opposées






   On arrive donc au Lierre terrestre (Glechoma hederacea) de la famille de la sauge et absolument pas du lierre.

   Comme c'est une flore simplifiée, il y aura parfois des ratés. Mais c'est vraiment un excellent moyen de regarder de près les plantes. Munissez vous d'une loupe pour observer certains caractères comme des poils sur une tige...

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    Le rosier de ma regrettée maman est visité par un petit coléoptère, le Cétoine funeste (Oxytherea funesta). Il s'enfouit profondément entre les pétales pour brouter les pétales et le pollen. Sa larve mange des racines. Hier, il y en avait un dans le lilas ; c'est une espèce assez commune.




  Personnellement j'adore le parfum de ces petites roses, moi aussi j'aime fourrer mon nez dedans.
  Les cétoines savent voler, même le flash n'a pas réussi à stopper son envol.


Sky watching

Le sky watching consiste à observer une partie du ciel pendant un certain temps et de noter les oiseaux non locaux qui s'y déplacent.

Guet de 15h30 à 16h00
-2 Martinets noirs, mes premiers
- une dizaine d'Hirondelles de fenêtre très haut chassant les insectes, mes premières
-2 Buses variables dans un duo aérien
-1 Buse variable
-une douzaine de goélands cerclant

C'est peu mais j'aurai tout de même vu de nouveaux migrateurs.

Photo mystère du jour


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Jean-Luc Hilarion Lefuneste